L’Europe face à la recherche et au développement

La branche de l’enseignement supérieur et la recherche du ministère de l’Éducation nationale intervient massivement, selon un rapport publié en juillet 2015, en matière de recherche dans l’UE. Selon ce rapport, seuls trois pays, dont la Suède, le Danemark et la Finlande ont pu donner 3% de leur PIB au projet de recherche et de développement. Il faut noter qu’il est fixé depuis 2010 jusqu’en 2020, l’objectif de veiller à une croissance à la fois durable et inclusive.

L’Hexagone, en 2012 a occupé le huitième rang, après la Belgique, la Slovénie, l’Autriche, l’Allemagne, le Danemark, la Suède et la Finlande, avec 2,23% de PIB consacré exclusivement à la recherche et au développement. Près d’une vingtaine de pays de l’Union Européenne doit encore fournir des efforts, sachant que leur PIB à consacrer à la recherche est en dessous de 2 %.

À partir de 2003, la France a connu un effort de recherche considérable de 0,18 point. Mais, ce soi-disant effort de recherche pour l’Hexagone n’a pas encore pu dépasser celui de l’Union Européenne (0,22 pont). Toutefois, il est actuellement constaté que l’effort de recherche des entreprises françaises dépasse de 0,17 % par rapport à celui des firmes en Union Européenne.